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Très bonne nouvelles! Des champions ces ingénieurs! Car ceux qui ont  à l'époque conçu cet ordinateur ne peut plus  Hélas de ce monde!
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Où sont les Voyagers maintenant ?



Voyager 1 et Voyager 2 ont atteint « l'espace interstellaire » et poursuivent chacun leur voyage unique à travers l'Univers.
Dans l'application NASA Eyes on the Solar System, vous pouvez voir les trajectoires réelles des vaisseaux spatiaux des Voyagers, qui sont mises à jour toutes les cinq minutes.
La distance et les vitesses sont mises à jour en temps réel.

Pour une expérience immersive entièrement en 3D, cliquez sur le lien View Voyagers ci-dessous pour lancer l'application NASA Eyes on the Solar System.

https://voyager.jpl.nasa.gov/mission/status/#where_are_they_now

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LE 23 AVRIL 2024

Après cinq mois de silence,
la communication reprend entre
la NASA et Voyager 1 !



https://twitter.com/nasavoyager?lang=fr



Depuis novembre, rien n’y faisait. La Nasa vient tout juste de recevoir de nouvelles données de la sonde Voyager 1. Un événement inespéré permis par l’utilisation d’une “nouvelle solution”.

L’annonce a eu lieu ce lundi 22 avril 2024 au soir : Des messages de Voyager 1 sont enfin arrivés à l’agence spatiale américaine !

Une nouvelle rassurante
Seuls des codes dénués de sens parvenaient à la NASA ces cinq derniers mois. Voyager 1, une sonde spatiale lancée il y a maintenant 46 ans, est l’objet le plus éloigné envoyé depuis la Terre. Elle se trouve actuellement à 24 milliards de kilomètres. Cela fait désormais un moment qu’elle a quitté notre système solaire.

Les ingénieurs ont redoublé d’efforts ces derniers mois pour trouver une solution. Ils craignaient une défaillance importante à bord.

Le problème de Voyager 1
D’après la NASA, le souci provenait d’une puce de l’un des ordinateurs de bord appelé sous-système de données de vol (FDS) dont la mission était de mettre en forme les données scientifiques et techniques avant de les envoyer vers la Terre. Une solution pour déplacer le code nécessaire a finalement porté ses fruits.

Si les messages de la sonde n’étaient plus perceptibles, les ordres qui lui étaient envoyés par l’agence spatiale américaine étaient tout de même reçus et exécutés. Ceux-ci mettent environ 45h à faire le trajet aller-retour entre notre planète et Voyager 1.

Pas évident de réparer ça à des milliards de kilomètres de distance et comme souvent, quand on ne peut pas changer le hardware, il faut ruser avec le software. L’équipe a alors élaboré un plan génial : découper le code incriminé et le stocker à des endroits différents de la mémoire du FDS. Un vrai casse-tête type jeu de « Mémory » pour recoller les morceaux correctement sans faire sauter la banque mémoire !

Puis banco ! Premier essai le 18 avril, ils transfèrent le nouveau code maison spécial « télémétrie de l’état des systèmes » dans la mémoire du FDS et environ 45 heures plus tard, en comptant les 22h30 de trajet aller-retour du signal radio, les ingénieurs reçoivent les précieuses données tant attendues.

Outre le soulagement de voir la communication rétablie, c’est une belle prouesse technique et un formidable pied-de-nez à l’obsolescence programmée. Pas mal pour une sonde lancée en 1977 et qui fête ses 46 ans ! Quand on vous dit que le matériel était bien meilleur à l’époque.

Maintenant l’équipe du JPL va pouvoir se consacrer aux prochaines étapes à savoir relocaliser petit à petit les autres bouts de code du FDS pour retrouver une configuration nominale, puis renouer avec la transmission des données scientifiques et le but premier de la mission, à savoir explorer les confins de l’espace interstellaire !

Et la suite ?
Cette solution innovante sera réutilisée à l’avenir pour obtenir des nouvelles de Voyager 1 ainsi que des données scientifiques. Les ingénieurs se sont en effet rendus compte qu’il leur était possible d’isoler l’élément défectueux pour continuer à faire fonctionner le reste du système.

https://www.science-et-vie.com/ciel-et-espace/apres-cinq-mois-de-silence-la-communication-reprend-entre-la-nasa-et-voyager-1-133857.html

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TERRE : Le 04 AVRIL 2024
MARS : SOL 1110


La roche échantillonnée par Perseverance de la NASA incarne pourquoi le rover est venu sur Mars

https://mars.nasa.gov/news/9572/rock-sampled-by-nasas-perseverance-embodies-why-rover-came-to-mars/









https://mars.nasa.gov/mars2020/multimedia/raw-images/image-of-the-week/



Perseverance Cores 'Bunsen Peak' : La 21e carotte rocheuse capturée par Perseverance de la NASA a une composition qui le rendrait efficace pour piéger et préserver les signes de vie microbienne, le cas échéant. L'échantillon – présenté ici – a été prélevé au « pic Bunsen » le 11 mars, le 1 088e jour martien, ou sol, de la mission. Crédits : NASA/JPL-Caltech.

Le 24ème échantillon prélevé par le scientifique à six roues offre de nouveaux indices sur le cratère Jezero et le lac qu'il aurait pu contenir autrefois.

L'analyse des instruments à bord du rover Perseverance Mars de la NASA indique que la dernière carotte rocheuse prélevée par le rover était inondée dans l'eau pendant une période prolongée dans un passé lointain, peut-être dans le cadre d'une ancienne plage martienne. Recueilli le 11 mars, l'échantillon est le 24e du rover – un total qui comprend 21 tubes d'échantillons remplis de carottes de roche, deux remplis de régolithe (roche brisée et poussière) et un d'atmosphère martienne.

"Pour faire simple, c'est le genre de roche que nous espérions trouver lorsque nous avons décidé d'étudier le cratère Jezero", a déclaré Ken Farley, scientifique du projet Perseverance à Caltech à Pasadena, en Californie. "Presque tous les minéraux contenus dans la roche que nous venons d'échantillonner ont été fabriqués dans l'eau ; sur Terre, les minéraux déposés dans l'eau sont souvent efficaces pour piéger et préserver les anciennes matières organiques et les biosignatures. La roche peut même nous renseigner sur les conditions climatiques de Mars qui étaient présentes lorsque il a été formé.

La présence de ces minéraux spécifiques est considérée comme prometteuse pour la préservation d’un riche patrimoine d’un ancien environnement habitable sur Mars. De telles collections de minéraux sont importantes pour guider les scientifiques vers les échantillons les plus précieux en vue d’un éventuel retour sur Terre avec la campagne Mars Sample Return.









Tous les détails ici:
https://mars.nasa.gov/news/9572/rock-sampled-by-nasas-perseverance-embodies-why-rover-came-to-mars/
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Astronautique Francophone / Re: ESA Lanceur Spatial ARIANE 6
« Last post by Pappy2 on 26 March 2024, 11:02:31 »
Rapport commun d'actualisation d'Ariane 6

https://www.esa.int/Enabling_Support/Space_Transportation/Ariane/Ariane_6_joint_update_report_22_March_2024

La Task Force du lanceur Ariane 6 est composée de la haute direction de l'ESA, en tant qu'entité acheteuse globale d'Ariane 6 et architecte du système de lancement, de l'agence spatiale française CNES en tant que maître d'œuvre de la base de lancement, d'ArianeGroup en tant que maître d'œuvre du système de lancement et d'Arianespace en tant que maître d'œuvre du système de lancement. le fournisseur de services de lancement. Ce groupe rend compte régulièrement des avancées vers le vol inaugural du nouveau lanceur Ariane 6.

Étapes clés vers le vol inaugural :
En route vers le premier vol d'Ariane 6, ces étapes ont été franchies depuis la dernière mise à jour conjointe :

28 février 2024 : Etage principal et étage supérieur du bâtiment d'assemblage du lanceur, Kourou, Guyane française
Les étages principal et supérieur du vol inaugural d'Ariane 6 ont été déchargés au bâtiment d'assemblage du lanceur et l'intégration a démarré.

11 mars 2024 : Premier booster pour le vol inaugural prêt, Kourou, Guyane française
Le premier propulseur du vol inaugural d'Ariane 6 a été intégré à l'atelier de finition des propulseurs et transféré au bâtiment d'intégration du lanceur pour y être stocké.

13 mars 2024 : Modèle d'essai démonté, Kourou Guyane française
Le modèle d'essai d'Ariane 6 qui était resté sur la rampe de lancement pendant plus d'un an et utilisé pour la qualification de la nouvelle fusée a été entièrement démonté et la rampe de lancement est désormais dégagée et prête à la préparer pour le vol inaugural d'Ariane 6.

14 mars 2024 : Début de l'intégration du deuxième booster solide à l'atelier de finition du booster, Kourou, Guyane française
L'intégration du deuxième booster du vol inaugural d'Ariane 6 a commencé dans l'atelier de finition des boosters en Guyane française.

15 mars 2024 : Intégration du noyau central, Kourou, Guyane française
Les étages supérieur et principal sont reliés pour former le noyau central. Le module supérieur de propulsion liquide (ULPM) et le module inférieur de propulsion liquide (LLPM) ont été accouplés horizontalement au Bâtiment d'Assemblage Lanceur (BAL) pour former le noyau central d'Ariane 6.

Prochaines étapes :
Campagne de lancement inaugurale

Début avril 2024 : deuxième booster pour vol inaugural prêt, Kourou, Guyane française.
Le deuxième booster du vol inaugural d'Ariane 6 sera intégré à l'atelier de finition des boosters.

Avril 2024 : Verticalisation du noyau central, Kourou, Guyane française
Transfert du noyau central du bâtiment d'assemblage du lanceur à la rampe de lancement où il sera soulevé jusqu'à sa position de lancement verticale pour un assemblage ultérieur.

Mai 2024 : Les charges utiles arrivent à Kourou, Guyane française
Les passagers de la première Ariane 6 devraient arriver, prêts à être intégrés, en mai.

Période de premier vol

L'ESA, le CNES et ArianeGroup visent le premier lancement d'Ariane 6 entre le 15 juin et le 31 juillet 2024.

Ariane 6 est une toute nouvelle conception, créée pour succéder à Ariane 5 en tant que système de lancement lourd européen. Grâce à la capacité de redémarrage de l'étage supérieur d'Ariane 6, la capacité de lancement de l'Europe sera adaptée aux besoins de missions à charges utiles multiples, par exemple pour mettre en orbite des constellations de satellites. Cette capacité autonome d'atteindre l'orbite terrestre et l'espace lointain soutient les programmes européens de navigation, d'observation de la Terre, scientifiques et de sécurité. Le développement continu des capacités de transport spatial de l'Europe est rendu possible grâce au dévouement soutenu de milliers de personnes talentueuses travaillant dans les 22 États membres de l'ESA.

https://forum.nasaspaceflight.com/index.php?topic=31484.580#lastPost
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Astronautique Francophone / Re: ESA Lanceur Spatial ARIANE 6
« Last post by Pappy2 on 22 March 2024, 15:28:25 »
LE 22 MARS 2024

ARIANE 6 "VOL" RENCONTRE ARIANE 6 "TEST"

https://www.ariane.group/en/news/ariane-6-meets-ariane-6/

ArianeGroup assemble actuellement le noyau central du lanceur destiné au vol inaugural d'Ariane 6.

Des opérations sont en cours dans le bâtiment d'assemblage du lanceur du port spatial européen en Guyane française pour accoupler et intégrer les étages principal et supérieur du lanceur pour former le noyau central. Ce processus complexe et très délicat nécessite une expertise technique et une extrême précision, car les deux étages doivent être parfaitement alignés avec seulement 150 mm d'intervalle pour que les connexions électriques puissent être réalisées. Ils sont ensuite assemblés mécaniquement grâce à une structure inter-étages boulonnée.

Le lanceur qui a servi aux essais combinés a désormais été retiré du pas de tir, afin que le premier modèle de vol d'Ariane 6 puisse prendre sa place. Le noyau central du lanceur d'essai est désormais lui-même stocké dans le même bâtiment d'assemblage de lanceurs situé sur le complexe de lancement ELA-4 dédié à Ariane 6.

Cela signifie que le bâtiment est temporairement partagé par les noyaux centraux des deux lanceurs, pendant l'assemblage et les tests du modèle de vol inaugural, avant son transfert vers la zone de lancement.

Le programme Ariane 6 est géré et financé par l'Agence spatiale européenne (ESA). En tant que maître d'œuvre industriel et autorité de conception du lanceur, ArianeGroup est responsable de son développement et de sa production avec ses partenaires industriels, ainsi que de sa commercialisation via sa filiale Arianespace. filiale. L'Agence spatiale française, le CNES, et ses partenaires contractuels sont responsables de la construction et de l'exploitation de la rampe de lancement dédiée à Ariane 6 à Kourou, en Guyane française.



Deux noyaux centraux du lanceur Ariane 6 sont réunis pour une courte période dans le bâtiment d'assemblage des lanceurs du port spatial européen de Kourou, en Guyane française.



Les équipes d'ArianeGroup assemblent actuellement le noyau central du lanceur destiné au vol inaugural d'Ariane 6.



Le noyau central est constitué des étages principal et supérieur de la fusée assemblés avec une structure inter-étages. En parallèle, le lanceur qui a servi aux tests combinés a désormais été retiré de la rampe de lancement. Le noyau central du lanceur de test est désormais lui-même stocké dans le même bâtiment d'assemblage du lanceur.

https://forum.nasaspaceflight.com/index.php?topic=31484.580#lastPost
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Astronautique Francophone / Re: ESA Lanceur Spatial ARIANE 6
« Last post by Pappy2 on 22 March 2024, 15:14:51 »
LE 21 MARS 2024

LE PREMIER BOOSTER DU VOL INAUGURAL D'ARIANE 6 EST PRÊT

https://www.ariane.group/en/news/first-booster-for-the-ariane-6-inaugural-flight-is-ready/

Une nouvelle étape vers le premier vol d'Ariane 6 : les équipes d'ArianeGroup ont finalisé l'intégration du premier booster pour le vol inaugural d'Ariane 6. Il a été déplacé de l'installation de finition des boosters du port spatial européen en Guyane française vers un bâtiment de stockage, en attente de transfert vers la rampe de lancement.

Les boosters à sangle (techniquement appelés moteurs-fusées latéraux à solide) avec le moteur P120C fournissent l'essentiel de la poussée au décollage.

Mesurant 21 mètres de haut et 3,4 mètres de circonférence, ces impressionnants propulseurs transportent chacun 142 tonnes de propergol solide pour alimenter le moteur P120C, qui peut délivrer une poussée allant jusqu'à 4 500 kN au décollage. Ils fonctionnent pendant un peu plus de deux minutes (135 secondes) ; une fois vides, ils se détachent de la fusée.

Un lanceur Ariane 6 peut être équipé de deux ou quatre propulseurs, selon la poussée nécessaire à une mission spatiale spécifique.

Le vol inaugural d'Ariane 6 sera une configuration A62, avec deux boosters. L'intégration du deuxième booster est actuellement en cours dans l'installation de finition des boosters du port spatial.













https://forum.nasaspaceflight.com/index.php?topic=31484.580#lastPost

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LE 14 MARS 2024

La mission Artemis de la NASA progresse avec le vol d'essai du vaisseau spatial SpaceX

SpaceX a lancé le troisième test en vol intégré de son booster Super Heavy et de son étage supérieur Starship depuis la rampe de lancement orbitale Starbase de la société à 8 h 25 CT le 14 mars. Ce test en vol est une étape importante vers la fourniture à la NASA d'un Starship HLS pour sa mission Artemis.

Dans le cadre de la campagne Artemis de la NASA visant à ramener les humains sur la Lune pour le bénéfice de tous, l'agence travaille avec SpaceX pour développer le système d'atterrissage humain Starship (HLS) de la société, qui fera atterrir les astronautes près du pôle Sud de la Lune pendant Artemis III et Missions Artémis IV. Le 14 mars 2024, SpaceX a lancé le troisième test en vol intégré de son booster Super Heavy et de son étage supérieur Starship, une étape importante vers la fourniture à la NASA d'un Starship HLS pour ses missions Artemis.

Un complément de 33 moteurs Raptor, alimentés par du méthane liquide et de l'oxygène liquide surrefroidis, a propulsé le booster Super Heavy avec Starship empilé sur le dessus, depuis la rampe de lancement orbitale Starbase de la société à 8 h 25 HAC. Le vaisseau spatial, utilisant six moteurs Raptor, s'est séparé du booster Super Heavy en utilisant une technique d'allumage à chaud pour allumer les moteurs avant la séparation environ trois minutes après le début du vol, conformément au plan de vol. Il s'agissait du troisième test en vol du système intégré Super Heavy-Starship.

«À chaque test en vol, SpaceX s'efforce d'atteindre des objectifs de plus en plus ambitieux pour que Starship apprenne autant que possible pour le développement futur des systèmes de mission. La capacité de tester des systèmes et des processus clés dans des scénarios de vol tels que ces tests intégrés permet à la NASA et à SpaceX de collecter des données cruciales nécessaires au développement continu du Starship HLS », a déclaré Lisa Watson-Morgan, responsable du programme HLS au Marshall Space Flight Center de la NASA à Huntsville, Alabama.

Ce test a permis de réaliser plusieurs premières importantes qui contribueront au développement des missions d'atterrissage lunaire Starship for Artemis.
Le vaisseau spatial a atteint son orbite prévue et Starship a terminé son ascension complète.

Un objectif étroitement lié aux futures opérations d'Artemis est le transfert de milliers de livres de propulseur cryogénique entre les réservoirs internes pendant la phase côtière du vaisseau spatial dans le cadre des prix Tipping Point 2020 de la Direction des missions de technologie spatiale de la NASA . Les opérations de démonstration de transfert de propulseur sont terminées et l'équipe NASA-SpaceX examine actuellement les données de vol reçues. Cette démonstration technologique Tipping Point est l'une des plus de 20 activités de développement entreprises par la NASA pour résoudre les défis liés à l'utilisation de fluides cryogéniques lors de futures missions.

Dans le cadre d'une étape clé vers la compréhension de la façon dont le propulseur super-refroidi s'échappe dans les réservoirs lorsque les moteurs s'arrêtent et comment ce mouvement affecte la stabilité du Starship en orbite, les ingénieurs étudieront les données des essais en vol pour évaluer les performances des propulseurs qui contrôlent l'orientation du Starship dans l'espace. Ils souhaitent également en savoir plus sur la façon dont le mouvement du fluide dans les réservoirs peut être réglé pour maximiser l'efficacité du transfert de propulseur et garantir que les moteurs Raptor reçoivent les conditions de propulseur nécessaires pour permettre le redémarrage en orbite.

"Le stockage et le transfert de propulseur cryogénique en orbite n'ont jamais été tentés à cette échelle auparavant", a déclaré Jeremy Kenny, chef de projet du portefeuille de gestion des fluides cryogéniques de la NASA chez Marshall. "Mais il s'agit d'une technologie révolutionnaire qui doit être développée et mûrie pour les missions scientifiques et d'exploration sur la Lune, sur Mars et pour celles qui s'aventureront encore plus profondément dans notre système solaire."

Dans le cadre de la campagne Artemis de la NASA, l'agence fera atterrir la première femme, la première personne de couleur et son premier astronaute partenaire international sur la surface lunaire et préparera des expéditions humaines vers Mars. Les systèmes commerciaux d’atterrissage humain sont essentiels à l’exploration de l’espace lointain, aux côtés de la fusée Space Launch System, du vaisseau spatial Orion, des combinaisons et rovers avancés, des systèmes d’exploration au sol et de la station spatiale Gateway.

https://www.nasa.gov/directorates/esdmd/artemis-campaign-development-division/human-landing-system-program/nasa-artemis-mission-progresses-with-spacex-starship-test-flight/?utm_source=TWITTER&utm_medium=NASA_Marshall&utm_campaign=NASASocial&linkId=364006005
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